Le Sacré de Birmanie, Découvrez le majestueux chat birman

Ce magnifique félin, à la personnalité à la fois complexe et énigmatique, mérite grandement son nom de chat sacré de Birmanie au regard de son aspect raffiné et distingué. Il cherchera à instaurer avec son propriétaire une relation affective reposant sur l’amour et la fidélité.

Les origines du chat birman ou sacré de Birmanie

Ses origines demeurent obscures. Le tout premier couple aurait été rapporté en France sur le yacht d’un milliardaire d’origine américaine en 1920. Le mâle, mort au cours de cette traversée, ne posa jamais les pattes sur le continent européen. Par chance, la femelle, prénommée Sita, pu mettre au monde une portée de chatons. Malgré de nombreuses recherches, il n’est pas possible d’avoir une confirmation sur l’origine exacte.

Beaucoup d’hypothèses ont vu le jour, par exemple, notamment celle selon laquelle certains éleveurs auraient croisé un hybride siamois avec une chatte à poil long. De ces portées, seulement un chaton sur dix fut mis de côté, celui qui présentait les marques siamoises, un poil long ainsi que des pattes gantées. Étant donné que les générations suivantes ont présenté des caractères distinctifs similaires on pourrait véritablement en déduire qu’il s’agit là d’une race originale.

Chat de race Birman

Combien coûte un sacré de Birmanie ?

Son prix, vous vous en doutez sûrement, peut dépendre d’une foule de critères. Parmi ces critères, qui peuvent faire varier le coût d’un chaton du simple au triple on retiendra, entre autres : son sexe, la qualité de sa robe et la couleur, la conformité au standard de race, la qualité du pedigree, si ses parents sont titrés et, cela va de soi, l’offre et la demande.

Le prix moyen pour acquérir un mâle sacré de Birmanie est situé aux environs de 910 euros et, si vous désirez obtenir une femelle, cela peut alors monter jusqu’à 1400 euros dans certains cas.

Quel est le caractère du chat birman ?

Ce chat possède un caractère merveilleux, il est légèrement timide et très sensible. Il peut bouder quand il n’obtient pas ce qu’il désire et, dans ce cas-là, il sera capable de se laisser aller à quelques méfaits. Comme nous l’avons déjà souligné auparavant, le sacré de Birmanie est très joueur, même lorsqu’il va sur ces vieux jours. Il est facile de le socialiser à travers le jeu.

Cette race a besoin de beaucoup bouger et aussi de se dépenser, tout particulièrement les chatons lors de leur croissance. Il suffit de leur mettre à disposition une simple balle en caoutchouc en guise de jeu. Chose rare, c’est justement grâce à ce type d’objet que vous allez pouvoir lui enseigner comment rapporter, une activité dont bien peu de chats sont friands ou même capables.

Le Birman sait parfaitement se faire comprendre. Ce chat d’une grande sensibilité n’aura aucun mal, par exemple, à détecter si vous avez du chagrin. Il viendra naturellement se blottir contre vous dans l’idée de vous réconforter de son amour et de sa présence.

Les soins à apporter à un chat sacré de Birmanie

Qu’il vive dans un appartement ou dans une vaste propriété de campagne, le sacré de Birmanie est un chat robuste qui saura très facilement s’adapte à différents milieux de vie. S’il a l’opportunité de sortir et de pouvoir profiter d’un jardin, dans ce cas, il ne boudera pas son plaisir de partir à la chasse.

Comme nous l’avons déjà souligné plus haut, il n’est pas nécessaire de le brosser fréquemment. Par contre, lors d’une période de mue, quelques soins supplémentaires peuvent s’avérer nécessaires dans le but d’éliminer l’excédent de duvet susceptible de se former.

Restez tout de même vigilants, au-delà de ses sept ans, ce chat peut être sujet à certaines affections. En cas de doute, n’hésitez pas à en discuter avec votre vétérinaire. Sur ses vieux jours, il importe de le faire passer à un régime élaboré avec des croquettes spéciales pour les chats âgés. C’est important si vous voulez éviter certaines pathologies comme des troubles digestifs ou des reins. En effet, le chat Birman tend à souffrir de dysfonctionnement rénal, un mal qui est, en général, d’origine congénitale.

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